25 mai 2014 7 25 /05 /mai /2014 08:46

En SimRacing, comme en sport automobile, le facteur chance est un critère important.

 

Bien sûr, il ne s'agit pas d'aborder une course sans entraînement en espérant que la réussite viendra d'elle-même en fonction des aléas de la course.

 

Une bonne connaissance du circuit et du châssis ainsi que la motivation (nous y reviendrons) sont des éléments primordiaux. Puis il y a la chance, celle que vous vous devez de provoquer, celle dont vous devez vous approcher le plus possible, celle où il convient d'être en bonne position pour pouvoir en bénéficier.

 

Après, parce c'est une notion aléatoire, parfois cela passe et parfois...

Ce sont les règles du jeu, cela ne doit pas vous démotiver, prenez-le pourquoi pas avec humour à l'image de cet infortuné SimRacer, il y aura toujours des événements qui tourneront en votre faveur au gré des courses.

Vidéo : Arnaud Myst

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12 septembre 2013 4 12 /09 /septembre /2013 06:25

Illustration de ce qu'est la technique du talon-pointe (utilisée lors des freinages). Ici avec iRacing en Skip Barber sur le circuit de Watkins Glen.

 

 

Source : www.bsimracing.com

Vidéo : Steve Claeys

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11 juin 2011 6 11 /06 /juin /2011 08:36

Depuis  la défaillance de mon PC, il y a plus d'un an maintenant, je ne l'avais pas renouvelé. Après tout, c'était un moyen de faire une pause d'informatique et de SimRacing.

 

Je me suis rendu acquéreur, il y a quelques jours,  d'une petite machine DELL d'occasion qui me sert de serveur et accessoirement pour flâner sur Internet. Je n'ai pas investi dans un écran, donc je me sers de celui de la télévision qui, il faut bien l'avouer, rend parfaitement bien ce service.

 

En bon SimRacer qui se respecte, j'ai, bien sûr, voulu savoir si mon simulateur favori (rFactor) tournait correctement avec cette configuration. La réponse est oui, bien mieux qu'avec mon précédent PC, du reste. Du coup, a germé en moi l'idée de reprendre gentillement le SimRacing. Evidemment, on ne se refait pas. Cependant, je manque cruellement d'un endroit pour poser mon volant, la table supportant l'écran est bien trop basse et inadaptée

 

Petite séance de surf, donc, pour regarder ce qu'il se fait en matière de cockpit en ce moment. Ma femme est là, dans la pièce, concentrée par son appel téléphonique mais pas seulement*. Elle me regarde alors et me fait un petit signe de désapprobation.

 

cockpit11.JPG

 

 Crois-tu vraiment pouvoir installer un truc pareil dans notre salon?

 

istockphoto_3792994_middle_finger.jpg

 

Oui, et bien j'ai mal géré le TAF. Mais, c'est quoi donc le TAF ?

 

C'est le Taux d'Acceptation Féminin, c'est la capacité qu'une femme a de pouvoir accepter l'envahissante passion de son gamin de mari, un facteur ô combien difficile à gérer pour un SimRacer.

 

Le TAF est mis à rude épreuve lorsque l'on doit s'entraîner une à deux fois par semaine, lorsque la course officielle vous empêche de sortir, lorsque l'infrastructure du logis doit être modifiée.

 

Nous sommes dans la rubrique conseil mais en réalité, je n'ai pas de recettes miracles malgré le nombre d'années passé à tenter de contrôler un peu mieux ce fameux TAF.

 

Une chose est certaine cependant, mon retour à la carrière de SimRacer me paraît mal engagée...

 

Et vous, vous le vivez comment ce TAF ?

 

* : Cest dingue comme les femmes sont capables de faire plusieurs choses à la fois !

 

Lien :

> Cockpit or not cockpit

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13 octobre 2009 2 13 /10 /octobre /2009 23:21
Si vous posez la question "comment puis-je obtenir un bon niveau ?" à un SimRacer normalement constitué, invariablement, il vous répondra : "il faut rouler, rouler et encore rouler" (on dit parfois "limer" sous entendu du bitume dans le jargon). Autrement dit, comme pour tous les sports, il est inconcevable de vouloir obtenir des résultats sans entraînement (tout du moins, un minimum).



Pourquoi les entraînements seraient-ils si importants ? Les intérêts sont, en fait, multiples :
- apprendre le véhicule
- apprendre le circuit
- apprendre à se comporter en peloton
- se faire un réglage "aux petits oignons"
-...

Dans la plupart des Championnats FFSCA, il existe ce que l'on appelle une préqualification. Généralement un serveur est ouvert 24h/24, avec le circuit adéquat, une semaine avant l'épreuve. Les meilleurs temps sont enregistrés et permettent la répartition par niveau. Occasion, donc, d'apprendre, parfaire son réglage, optimiser ses trajectoires, etc.

Mes motivations face aux entraînements sont très variables. Elles dépendent de mon temps libre, mes goûts pour un circuit et/ou un châssis, ... et il m'arrive, parfois, de pousser un peu plus les séances.

Ce qui est le cas, aujourd'hui, pour une course à venir du Megane World Series FFSCA 2009. Sur le circuit de San Luis (Argentine) que je ne connaissais pas, des affinités me sont apparues assez rapidement. Du coup, en l'espace de quelques jours, j'ai effectué pas moins de 60 tours chronos sur cette piste.

Pour la petite histoire, mon meilleur temps est de 2:17.296, je l'estime comme correct et pourtant... je ne fais que le 10ème temps sur 60 pilotes. Le plus rapide me met 0.7 secondes dans la vue tout de même... Sacré niveau ce Championnat !

J'ai eu l'idée, pour cet article, de vous faire une petite vidéo de ce meilleur tour, résultat d'un entraînement à taquiner le chronomètre et pour vous faire une idée de l'"ambiance".

Je vous emmène dans mon engin ?

 



Note : Je suis nul en vidéo, j'ai réalisé celle-ci à partir de rFactor qui en plus enregistre une musique pourrie... dommage mais l'esprit est là, je pense. Je ferai mieux la prochaine fois.

Liens :
> FFSCA
> Megane World Series FFSCA 2009

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27 septembre 2009 7 27 /09 /septembre /2009 07:32
Dernier, en date, de la série et de mes déboires en course virtuelle, aujourd'hui la préparation du SimRacer par l'exemple, comme à mon habitude.

Il vous viendrait à l'esprit, à vous, de participer à une épreuve sportive de haut niveau sans vous être préparé et espérer, malgré tout, effectuer une honnête performance ?

Avec la rentrée, la saison de SimRacing bat son plein. J'ai pour ma part tellement apprécié mon repos que j'en ai presque oublié l'intensité de la compétition OnLine et la préparation qu'il convenait d'avoir. Le résultat s'en est fait immédiatement ressentir lors de la première épreuve du Championnat "Megane World Series FFSCA 2009" sur le très connu circuit de Silverstone. Enfin, très connu, nous le verrons plus tard, par mes concurrents avant tout.

Mes qualifications, évidemment, se passent très mal. Difficile de faire un tour clair dans un environnement très encombré et à chaque fois que j'ai la piste pour moi, je fais une erreur. Mon meilleur temps sera de 1:53.378 contre 1:51.409 pour la pôle position. Imaginez, près de 2 secondes nous séparent ce qui est, sur ce circuit, une éternité. Bilan, je vais partir 23ème sur la grille. Ce n'est pas si grave, à cet instant, je sais que ce n'est pas mon exercice préféré. Ma spécialité c'est la remontée en condition difficile, cela tombe bien.

Une ligne de départ avec 40 furieux prêts à en découdre. C'est impressionnant tant de l'intérieur que de l'extérieur.

Première course de 20 minutes, le départ ne se passera pas trop mal, il y a tellement de Mégane sur la piste que les premiers tours se font à allure modérée et tout le monde reste prudent.

Je vais finir par prendre ma vitesse de croisière assez rapidement malgré tout. Ironie du sort, mes temps en courses sont caractéristiques du manque de préparation : mes chronos sont meilleurs que lors de ma qualification et, surtout, tombent avec une incroyable régularité. Evidemment, je me sens à l'aise, un peu trop sans doute puisque je vais être l'auteur d'un joli tête-à-queue anondin mais qui va ma coûter la course. Le niveau général est tellement relevé que la moindre erreur se paye cash et je vais en faire les frais. Il me sera impossible de faire une bonne position, je finirai à une poussive 23ème place...

Mon TAQ, on le voit, je contre-braque mais il est trop tard...

Deuxième course de 40 minutes, j'en sais déjà un peu plus sur le circuit et mon comportement sur celui-ci et puis je ne peux que faire mieux, en principe...

Je pars à la 23ème, ma position d'arrivée sur la course précédente (il n'y a pas de qualification pour la seconde course). Je ne suis pas si mal avec une moyenne et prudence qui convient à la situation, c'est assez rapidement que je raccroche les 10 premiers.

40 minutes, le réservoir étant trop petit, il s'agit maintenant de le remplir et de changer les pneus, une formalité... en principe. Sauf que là, je ne sais pas où se trouve l'entrée des stands. Mon réservoir est à sec ou presque, je n'ai pas le temps de trop réfléchir et faire un tour de reconnaissance. Je prends la première entrée qui me paraît être la bonne mais... ce ne sera pas le cas.

Je dois bien avoué avoir laché une série fournie de petits jurons lorsque, dans les méandres du chemin, je me suis perdu. Concentré que j'étais à chercher la bonne voie j'en ai oublié de configurer mon arrêt au stand. Les mécaniciens vont donc me faire la totale : essence, pneus, vidange, pare-brise, ... et c'est près d'une minute que je perds. En ressortant, cerise sur le gâteau, j'écope d'un Stop & Go de 10 secondes pour vitesse excessive à l'entrée. Re-arrêt mais cette fois je connais le bon chemin. Malgré cela, je ne m'en sors pas si mal car seul le premier me prendra un tour, je finis à une modeste et anonyme 27ème places.

  C'est où les stands à Silverstone ? Promenade bucolique à la recherche de mon équipe...

Il est bien évident que je manquais, ce soir là, de... préparation.

Malgré ces déboires j'ai tout de même gardé un point important de la compétition OnLine, la motivation du SimRacer, dont nous parlerons, sans doute, dans un prochain article.

Lien :
> Megane World Series FFSCA 2009

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23 mai 2009 6 23 /05 /mai /2009 08:05
Dans la série des qualificatifs pour les SimRacers, mais dans un genre nouveau (les conseils / secrets car il faut positiver), retraçant mes déboires du moment en Championnat sur les pistes virtuelles, après "La frustration / déception du SimRacer", aujourd'hui, la concentration.

On peut le lire dans tous les manuels de pilotage, la concentration est l'un des points essentiel de la réussite. C'est d'autant plus vrai en SimRacing, il nous manque beaucoup de chose par rapport à la réalité comme les sensations physiques, la vision, l'isolement, etc.

On vous le dira toujours pourtant, quelque soit le domaine d'ailleurs, concentrez-vous sur ce que vous êtes en train de faire. Ne pas penser à sa victoire, sa position au championnat, l'arrivée de son heure de gloire : non, il faut avant tout piloter, on est là pour ça. Il sera temps d'y songer après, une fois arrivé. Pour gagner des courses, d'abord, il faut les finir.

C'est l'un de ces principes fondamentaux que j'ai oublié(?) lors de l'une des deux courses*, cette semaine, sur le Championnat Historique HGT de la FFSCA.

Je suis en Jaguar Type E Lightweight, une bête brutale au joyeux et ronflant moteur de 3,8 litres et de près de 230 chevaux, sur le circuit de Oulton Park (en Angleterre).

L'engin est difficile à manipuler au premier abord, je trouve pourtant assez rapidement mes marques lors des qualifications. Je signe la pôle position en 1:35.361, à près de 8 dixième de seconde du leader actuel du Championnat. C'est la première fois, depuis le début de la saison, qu'il prend une telle différence dans la vue. je suis sur un nuage, donc.

en pôle position

Sur la ligne de départ, je ne suis pas très fort à cet exercice, tout se passe pour le mieux, je garde ma première place. Les tours s'enchaînent, je suis toujours à l'aise, tant mieux. Je prends de la distance par rapport au second. C'est à ce moment que ma concentration va se focaliser sur autre chose que ce que je dois faire. Je pense inlassablement à la même chose : "Hé ! Mais je peux gagner cette course, je suis devant, devant le leader du Championnat et il ne peut pas me rattraper". Tellement que j'en oublie mon point de freinage à l'épingle et que je suis trop généreux sur un autre virage. Du coup je perds la tête (au sens propre comme au sens figuré)... Pire, je perds même la seconde place... Retour à la réalité, concentration mais il est trop tard, je donne tout ce que je peux mais je ne finirai que second sur un amer podium. J'ai bien évidemment manqué de... concentration.

Il s'agit donc de mon conseil / secret du jour pour gagner : la concentration.

première sortie de piste**
seconde sortie de piste due à la déconcentration, cette dernière me coûtera la victoire

* : Au volant d'une Austin Mini, c'est moi, cette fois, qui vais administrer un suppo. à un adversaire par manque de prudence. Je ne finirai pas cette autre course.

** : Je tenterais bien de vous faire quelques vidéos, c'est plus expressif, mais les piètres qualités graphiques de mon P.C. m'en dissuadent. Les copies d'écran ne sont déjà pas tops donc...

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21 mai 2009 4 21 /05 /mai /2009 08:43

Pour la communauté SimRacing cela a toujours été un débat passionné voire enflammé...

Grand Prix Legends, la vraie origine selon moi du SimRacing (nous y reviendrons certainement un jour), proposait, principalement, deux types de vues "jouables" : la vue cockpit et la vue aérienne arrière dite "F10". Pourquoi F10 ? Tout simplement parce qu'il fallait appuyer sur cette touche du clavier pour obtenir cette vue.

La vue cockpit
La vue "F10"


Le SimRacer étant, dans la majorité des cas, un puriste qui désire se rapprocher le plus possible de la réalité, on sent irrémédiablement poindre les empoignades qui faisaient alors débat, entre ceux utilisant la vue cockpit et ceux de la vue "F10". Les premiers accusant les second de se la jouer "arcade" et les autres d'évoquer le GamePlay, le confort, le plaisir de "jouer" ce qui ne faisait pas d'eux des "pilotes" différents etc.

Aujourd'hui, les simulateurs proposent, par défaut, un nombre incroyable de vues. Curieusement, du reste, le débat autour de la vue n'est plus aussi fort. Vous pouvez voir, ci-dessous, les vues disponibles sur rFactor du Mod F3 Euroseries :

La première correspond à la vue cockpit, la seconde à la vue "F10", la troisième à la vue "toit" et la dernière à la vue "pare choc".


Voilà pour situer le contexte, vous allez peut-être me dire, maintenant : mais quel est ton avis sur ce sujet ? Ce à quoi je répondrais "bonne question, je vais vous le dire" (l'écrire serait plus correct dans ce contexte).

J'ai commencé réellement (sérieusement) le SimRacing avec Grand Prix Legends, je fais une redite car j'ai déjà dû l'écrire quelque part dans ce blog. A mes débuts, donc, mon P.C. n'était pas assez puissant pour faire fonctionner de manière fluide mon simulateur favori, sauf avec la fameuse vue "F10". Les résultats n'étaient pas si mauvais mais je savais que je passais à côté de quelque chose. Lorsque que j'ai changé mon P.C. mon but, alors, était de passer à la vue cockpit, c'était mon Graal de l'époque. J'ai rapidement compris que j'aurais beaucoup de choses à réapprendre, me faire aux nouveaux repères etc. Il m'aurait été facile d'abandonner, face à la difficulté de la tâche, et de reprendre la vue "F10" mais j'ai insisté pendant une bonne semaine. Jusqu'à ce que l'habitude m'autorise à ne plus sortir systématiquement de la piste. Ensuite tout s'est enchaîné rapidement, j'ai retrouvé mon niveau "F10" en deux semaines d'acharnement, pas beaucoup plus. Puis est arrivé le moment où je battais tous mes records de piste. Ceci, la plupart du temps, avec une facilité déconcertante. Le plus intéressant, c'est qu'après cet entraînement, je ne parvenais plus à évoluer en vue "F10".

Vous l'aurez compris, ma préférence va maintenant pour la vue cockpit même si cette dernière n'offre pas la vision périphérique que l'on a dans la réalité mais elle est, et reste, la meilleure pour progresser rapidement, "ressentir" vraiment les sensations du pilotage, le comportement de l'automobile.... Les autres vues, sont anti-naturelles, elles sont pratiquables avec l'entraînement mais, je le pense, gâchent une bonne partie du réalisme et de l'immersion.

Je ne peux que vous conseiller, si vous avez un doute, la vue cockpit que j'ai testé et approuvé au cours de ces dernières années. Je ne suis pas un SimRacer intégriste, cependant, chacun fait ce qu'il veut s'il y prend du plaisir mais, malgré tout, je pense que l'on perd quelque chose, y compris les performances, avec les autres vues.

La vue cockpit de la Jaguar Type E Lightweight du Mod HGT sur rFactor

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16 mai 2009 6 16 /05 /mai /2009 11:30
Contrairement à l'article intitulé "The Victory Lane", il arrive aussi des moments de frustration ultime, de déception qui font partie intégrante du SimRacing.

En cela, je pense que le SimRacing se veut très proche du Sport Automobile réel. A l'instar de notre, très décrié, Sébastien Bourdais national en F1, je suis dans une très mauvaise passe sur le Championnat de France F3@FFSCA (Mod F3 rFactor). Championnat qui, au passage, a toujours été et reste de très bonne qualité et d'un très haut niveau, avis aux amateurs.

En quatre courses, il y en a deux de 30 minutes sur le même circuit à chaque épreuve, et malgré que je suis dans le coup (avec de bonnes pré-qualifications* où je suis régulièrement dans le top 3), je n'ai pu concrétiser qu'un résultat qui me laisse sur ma faim alors que je pouvait espérer plusieurs top 3.

1ère course sur Sakhir : après quelques tours, je suis 3ème, déconnexion Internet. Ceci pourrait être pris pour une panne mécanique mais c'est affreusement frustrant, surtout lorsque l'on est dans le coup : Frustration.

2ème course sur Sakhir : je fais une erreur bête, elles le sont toujours ceci dit, lors du tour de chauffe, je casse un aileron. Je suis obligé de passer au stand pour réparer mais ma direction reste cassée. Je repars bon dernier, il est trop difficile de remonter le peloton avec une auto mal en point : Déception.

1ère course sur Monaco : mauvaise qualification, très importante sur ce circuit. Parti 9ème je vais finir malgré tout à une honorable 4ème place, le podium me passe sous le nez, dans les echappements du 3ème: Déception.

2ème course sur Monaco : au troisième tour, je me prends un magistral suppo.** (le plus beau que je subis de la saison) qui cassera irrémédiablement, encore une fois, ma direction. Passage au stand mais encore difficile de remonter le peloton et encore plus sur ce circuit : Frustration.

Je suis à bord de la F3 orange, numéro 9

Je ne remonte pas plus loin dans mon début de saison mais il n'est pas beaucoup plus glorieux avec un unique podium (3ème place). Je suis relativement performant cette année mais je manque furieusement de réussite et aussi de chance (nous reviendrions plus tard sur cette notion de chance). A mi-saison, je suis en 12ème position au Championnat...

Dans ces conditions, parfois, le SimRacer peut avoir le désir de tout plaquer. Comme en Sport Auto réel, il faut simplement garder la motivation, tenter, humblement de faire mieux les prochaines fois en espérant que la chance puisse tourner. 
* : Pendant une semaine avant l'épreuve il convient d'aligner les plus rapides 3 tours consécutifs que l'on peut faire, ce qui déterminera la division dans laquelle l'on va courir. C'est aussi un moyen de bien apprendre le circuit et de voir les forces en présence.

** Dans le jargon du SimRacer, le suppo., oui le langage est imagé, cela correspond à un harponnage d'un adversaire par l'arrière. Ce contre quoi on ne peut absolument rien faire généralement si ce n'est serrer les fesses lorsqu'on le (l'adversaire) voit grossir dangereusement dans ces rétroviseurs (cf image ci-dessus).

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