10 mai 2009
7
10
/05
/mai
/2009
09:30
Dans la série je profite des distractions parisiennes, aujourd'hui, une visite au musée du sport (Paris 13 près de la Bibliothèque François Mitterrand) où se déroule une exposition nommée "A
toute vitesse : 1899-1949, 50 ans de courses et de records automobiles".

Que peut-on y découvrir ?
Des automobiles, des oeuvres d'art, des jouets, des photographies et des projections réunis autour du thème de la vitesse.
A peine arrivé, ma petite femme et son indissociable appareil photographique (ils finiront par être célèbre un jour, tous les deux) se fait réprimander par le gardien : "les photos sont interdites". Mauvais point, nous avions prévu de faire un reportage bien comme il faut, images à l'appui... Après avoir lâché un "Désolé, nous n'avions pas fait attention aux panneaux", les deux gardiens ne nous ont pas lâchés. Cependant, au prix de tous les dangers, en essayant de distraire habilement nos anti-liberté-de-la-presse, en prenant des poses acrobatiques, ma femme est, malgré tout, parvenue à réaliser quelques clichés pour vous en faire profiter. On ne pourra pas dire que l'on ne se décarcasse pas pour alimenter ce blog.
Petite visite guidée autour de quelques éléments de l'exposition.

La "Jamais Contente" de Camille Jenatzy est la première automobile, en 1899, à franchir la barre des 100 km/h. La
vitesse, à notre époque, ne semble pas impressionnante mais pour qui a vu de près l'engin (profilé cigare), on se doute de l'énorme courage du garçon qui en a pris les commandes : siège en bois et
palonnier en guise de volant...


Cette Bugatti Type 59/50B est celle pilotée par le très célèbre Jean-Pierre Wimille. Il remportera à son bord, et au sortir de la Seconde Guerre Mondiale, la Coupe des Prisonniers. A noter le carossage positif impressionnant du train avant.
Je le disais plus haut, sont aussi exposées de magnifiques oeuvres d'art.
De prestigieux jouets
Ainsi qu'un "simulateur" testé par votre serviteur. Ce dernier est pour le moins assez
mauvais, je dois bien le dire. La position de conduite est désagréable, on est très mal positionné, pas assez d'espace malgré mon petit gabarit. Le volant et le pédalier sont ceux d'une console, la
précision n'est pas meilleure que celle que l'on pourrait avoir avec une manette... Enfin, bref, c'était amusant mais cela n'a pas satisfait le SimRacer.
Pour conclure, le passionné que je suis est resté un peu sur sa fin, la surface d'exposition n'est pas très importante et... il n'y a que deux bolides même s'ils ne sont pas des moindres. En prime, malgré tout, un cockpit qui, à défaut d'être réaliste, est au moins amusant.
Pour tout vous dire, si vous êtes parisien, et donc sur place, la visite est malgré tout intéressante et pas très chère : 4 euros le billet. Si vous habitez plus loin, armez-vous d'une passion sans failles car on a vite fait le tour...


Que peut-on y découvrir ?
Des automobiles, des oeuvres d'art, des jouets, des photographies et des projections réunis autour du thème de la vitesse.
A peine arrivé, ma petite femme et son indissociable appareil photographique (ils finiront par être célèbre un jour, tous les deux) se fait réprimander par le gardien : "les photos sont interdites". Mauvais point, nous avions prévu de faire un reportage bien comme il faut, images à l'appui... Après avoir lâché un "Désolé, nous n'avions pas fait attention aux panneaux", les deux gardiens ne nous ont pas lâchés. Cependant, au prix de tous les dangers, en essayant de distraire habilement nos anti-liberté-de-la-presse, en prenant des poses acrobatiques, ma femme est, malgré tout, parvenue à réaliser quelques clichés pour vous en faire profiter. On ne pourra pas dire que l'on ne se décarcasse pas pour alimenter ce blog.
Petite visite guidée autour de quelques éléments de l'exposition.




Cette Bugatti Type 59/50B est celle pilotée par le très célèbre Jean-Pierre Wimille. Il remportera à son bord, et au sortir de la Seconde Guerre Mondiale, la Coupe des Prisonniers. A noter le carossage positif impressionnant du train avant.



Pour conclure, le passionné que je suis est resté un peu sur sa fin, la surface d'exposition n'est pas très importante et... il n'y a que deux bolides même s'ils ne sont pas des moindres. En prime, malgré tout, un cockpit qui, à défaut d'être réaliste, est au moins amusant.
Pour tout vous dire, si vous êtes parisien, et donc sur place, la visite est malgré tout intéressante et pas très chère : 4 euros le billet. Si vous habitez plus loin, armez-vous d'une passion sans failles car on a vite fait le tour...
