26 octobre 2009
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21:45
Après le simulateur BMW, le second volet de la série du SimRacer en vadrouille, l'expérience d'un
simulateur de type Formule 1.
Soudain, Mes oreilles ont été interloquées par la sonorité sourde mais caractéristique d'une F1. En bon passionné de la chose, je me suis donc dirigé dans cette direction jusqu'à "tombé" sur ce stand.
Voilà quelque chose qui ressemble à un simulateur, cette fois, l'écran est bien au milieu du champ de vision du pilote. Je me devais, bien sûr, de l'essayer.
Encore une fois, il faut être patient, une file de personnes avides de tester le "truc" permet d'exarcerber l'envie. Le circuit semble être celui de Barcelone que je ne connais pas très bien et le simulateur, proche, très proche du titre GP3/4 de Microprose. Le "défit" consiste à prendre le départ, d'une course de deux tours, en pôle position contre une foule de pilotes gérés par l'ordinateur (IA) et aux noms évocateurs du moment : Alonso, Hamilton, ...
Après une attente non négligeable, vient mon tour. Plutôt réaliste, on me retire le volant pour que je puisse prendre place. En fait, il y a beaucoup d'espace dans ce cocpkit complètement dépouillé, il n'y a pas de baquet mais la position de conduite est correcte, on y trouve, très vite, sa place, confortable. Petit conseil de base du responsable du stand : "accélérateur et frein comme sur une voiture normale mais tout est automatique, accélérez à fond sur la ligne de départ".
Au moment de prendre le départ, j'ai un petit doute sur le "Accélérez à fond", la monoplace virtuelle crie pas mal et cela me fait un peu mal de la voir "crier" le martyre pour pas grand chose. Au passage des feux au vert, je vais donc être plus souple avec l'accélérateur que ce que l'on m'avait préconisé. Du coup, je suis un peu lent et me fais passer par quelques IA. Ce n'est pas si grave, du moins, je ne m'en inquiète pas. Au premier virage, n'ayant pas encore de repère, je freine un peu fort. Un des IA me harponne copieusement et m'envoie dans le bac à sable...
Le responsable du stand n'ayant rien manqué de la scène me propose, fièrement, de revoir le replay de mon accident. En effet, je me suis pris un suppo. d'enfer.
Il me remet sur la ligne de départ en me précisant de nouveau : "Accélérez à fond !". Bon, je vais attendre le dernier moment pour le faire, cela me fait trop mal d'attendre l'extinction des feux avec le pied droit dedans.
Feux vert, à fond, l'arrière part tout de suite, était-ce un piège pour que je me gauffre ? Qu'à cela ne tienne, j'en ai connu d'autres, petit contre-braquage et relachement léger du pied droit et je pars en tête. Au deuxième virage, je ne peux rien faire pour contenir l'Alonso virtuel, je ne le reverrai plus. Mais les autres par contre, je peux, facilement, les contenir. Après un tour à me familiariser avec l'environnement, et un peu tardivement, je dois l'avouer, je prends conscience qu'il y a plus d'automatique que ce que je pensais. La monoplace freine automatiquement et légèrement lorsque j'approche de la zone critique de freinage et si l'on va un peu hors trajectoire, la direction nous aide à prendre le bon chemin. Dommage, si je m'en étais rendu compte plus tôt, j'aurais beaucoup plus fait le bourrin.
Au final, je finis donc à une tranquille 2ème place. J'ai encore le souvenir, une fois plus à l'aise, des commentaires des personnes en train de faire la queue pour s'essayer au truc : "Il se débrouille bien", "il tourne fort", "il maîtrise", "il est 2ème". Leurs vues étaient troublées, sans doute, en comparaison des précédents essayeurs dont la prestation a été plus limitée. J'avoue que c'était tout de même gratifiant.
Le responsable m'a montré mon meilleur temps, chronomètré sur le tour unique que l'on peut faire, il me semble être dans le top 10 du salon. C'est déjà ça, le SimRacer est moins passé pour un minable que sur le simulateur BMW M3.
J'ai tout de même gagné une jolie casquette et deux stylos promotionels aux couleurs de la marque de pneus Nexen.
Une dernière question :
"
- Quelle est la base de votre simulateur ?
- Comment ?
- Heu, le logiciel, vous l'avez développé vous même ou il existait déjà ?
- Nous l'avons adapté.
- Ok, merci pour ce petit mais agréable moment.
"
Pas mal mais il "freeze" (l'écran se gèle) un peu tout de même.
Je vais voir, par la suite, que le meilleur temps gagnait un stage de pilotage sur Porsche 911. Dommage, je n'avais pas le temps mais j'aurais peut-être pu aller le chercher.
En tout cas l'expérience était assez divertissante, j'en garde un bon souvenir.
Après ce salon et la suprise de pouvoir faire ces deux essais, le prochain test de simulateurs, dans moins d'un mois maintenant, risque d'être plus intéressant encore... mais je n'en dis pas plus.
Soudain, Mes oreilles ont été interloquées par la sonorité sourde mais caractéristique d'une F1. En bon passionné de la chose, je me suis donc dirigé dans cette direction jusqu'à "tombé" sur ce stand.
Voilà quelque chose qui ressemble à un simulateur, cette fois, l'écran est bien au milieu du champ de vision du pilote. Je me devais, bien sûr, de l'essayer.
Encore une fois, il faut être patient, une file de personnes avides de tester le "truc" permet d'exarcerber l'envie. Le circuit semble être celui de Barcelone que je ne connais pas très bien et le simulateur, proche, très proche du titre GP3/4 de Microprose. Le "défit" consiste à prendre le départ, d'une course de deux tours, en pôle position contre une foule de pilotes gérés par l'ordinateur (IA) et aux noms évocateurs du moment : Alonso, Hamilton, ...
Après une attente non négligeable, vient mon tour. Plutôt réaliste, on me retire le volant pour que je puisse prendre place. En fait, il y a beaucoup d'espace dans ce cocpkit complètement dépouillé, il n'y a pas de baquet mais la position de conduite est correcte, on y trouve, très vite, sa place, confortable. Petit conseil de base du responsable du stand : "accélérateur et frein comme sur une voiture normale mais tout est automatique, accélérez à fond sur la ligne de départ".
Au moment de prendre le départ, j'ai un petit doute sur le "Accélérez à fond", la monoplace virtuelle crie pas mal et cela me fait un peu mal de la voir "crier" le martyre pour pas grand chose. Au passage des feux au vert, je vais donc être plus souple avec l'accélérateur que ce que l'on m'avait préconisé. Du coup, je suis un peu lent et me fais passer par quelques IA. Ce n'est pas si grave, du moins, je ne m'en inquiète pas. Au premier virage, n'ayant pas encore de repère, je freine un peu fort. Un des IA me harponne copieusement et m'envoie dans le bac à sable...
Le responsable du stand n'ayant rien manqué de la scène me propose, fièrement, de revoir le replay de mon accident. En effet, je me suis pris un suppo. d'enfer.
Il me remet sur la ligne de départ en me précisant de nouveau : "Accélérez à fond !". Bon, je vais attendre le dernier moment pour le faire, cela me fait trop mal d'attendre l'extinction des feux avec le pied droit dedans.
Feux vert, à fond, l'arrière part tout de suite, était-ce un piège pour que je me gauffre ? Qu'à cela ne tienne, j'en ai connu d'autres, petit contre-braquage et relachement léger du pied droit et je pars en tête. Au deuxième virage, je ne peux rien faire pour contenir l'Alonso virtuel, je ne le reverrai plus. Mais les autres par contre, je peux, facilement, les contenir. Après un tour à me familiariser avec l'environnement, et un peu tardivement, je dois l'avouer, je prends conscience qu'il y a plus d'automatique que ce que je pensais. La monoplace freine automatiquement et légèrement lorsque j'approche de la zone critique de freinage et si l'on va un peu hors trajectoire, la direction nous aide à prendre le bon chemin. Dommage, si je m'en étais rendu compte plus tôt, j'aurais beaucoup plus fait le bourrin.
Au final, je finis donc à une tranquille 2ème place. J'ai encore le souvenir, une fois plus à l'aise, des commentaires des personnes en train de faire la queue pour s'essayer au truc : "Il se débrouille bien", "il tourne fort", "il maîtrise", "il est 2ème". Leurs vues étaient troublées, sans doute, en comparaison des précédents essayeurs dont la prestation a été plus limitée. J'avoue que c'était tout de même gratifiant.
Le responsable m'a montré mon meilleur temps, chronomètré sur le tour unique que l'on peut faire, il me semble être dans le top 10 du salon. C'est déjà ça, le SimRacer est moins passé pour un minable que sur le simulateur BMW M3.
J'ai tout de même gagné une jolie casquette et deux stylos promotionels aux couleurs de la marque de pneus Nexen.
Une dernière question :
"
- Quelle est la base de votre simulateur ?
- Comment ?
- Heu, le logiciel, vous l'avez développé vous même ou il existait déjà ?
- Nous l'avons adapté.
- Ok, merci pour ce petit mais agréable moment.
"
Pas mal mais il "freeze" (l'écran se gèle) un peu tout de même.
Je vais voir, par la suite, que le meilleur temps gagnait un stage de pilotage sur Porsche 911. Dommage, je n'avais pas le temps mais j'aurais peut-être pu aller le chercher.
En tout cas l'expérience était assez divertissante, j'en garde un bon souvenir.
Après ce salon et la suprise de pouvoir faire ces deux essais, le prochain test de simulateurs, dans moins d'un mois maintenant, risque d'être plus intéressant encore... mais je n'en dis pas plus.